Balade avec pony greg

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il y a 10 ans

AUTEUR : Mademoiselle M.

J'étais encore en train de me préparer lorsque la sonnerie de l'interphone retentit. Un coup d'oeil sur l'horloge murale me confirma que greg était légèrement en avance. Je souris à cette idée. Lui qui ne faisait jamais attention avant était comme par miracle devenu ponctuel. - " Entre, attends moi dans l'entrée" lui dis-je par l'interphone avant d'appuyer sur le bouton qui actionnait le lourd portail noir. Je continuais à m'habiller. Il faisait chaud en cette saison, aussi je mis un débardeur rouge avec mon pantalon beige. Mes bottes étaient restées en bas, d'ailleurs elles n'étaient pas lavées si je m'en souvenais bien...

J'entendis la porte d'entrée s'ouvrir puis se refermer. J'allais près du couloir qui surplombait l'entrée et criais: -" greg, rends-moi service, il doit y avoir mes bottes près de la porte, passe un coup d'eau dessus et essuie-les.

Je finis de m'habiller" -" bien Mademoiselle" me répondit-til. Lorsque je descendis enfin, il se tenait dans l'entrée, tenant mes bottes toutes propres à la main. Je m'assis sur une des dernières marches et tendit ma main vers lui. Aussitôt il vint vers moi, s'agenouilla, posa les bottes près de lui et m'embrassa délicatement la main. Ce fût mes pieds que je tendis ensuite, et greg me chaussa l'un puis l'autre de mes bottes en cuir noir. -"Bien, on peut y aller maintenant!" greg s'est alors levé et m'a suivi, prenant le soin de m'ouvrir la porte d'entrée. Aujourd'hui, nous allions faire une belle balade.

Le soleil resplendissait, la journée se promettait d'être agréable. Arrivés à l'écurie, je lui montrais Athéna ainsi que son matériel: un filet, une selle et un tapis à poches. -" Je vais monter Déesse. Lorsque tu selleras Athéna je te défends de regarder ce qu'il y a dans les poches du tapis. Compris?! Bien, voilà ta monture pour aujourd'hui. C'est une gentille jument tu verras, tu n'auras rien d'autre à faire que de rester dessus. Tu la montes rênes longues ok?" lui dis-je.

-"Compris. Mais dis-moi,... " Je lui jetais aussitôt un regard noir. "...pardonnez-moi cela m'a échappé. Dites-moi Mademoiselle , n'avez-vous donc que des juments?" -" En effet, je trouve que les juments sont beaucoup plus sensibles, plus agréables à monter. Elles sont délicates, mais une fois qu'elles ont confiance en toi tu peux faire des merveilles avec. Leur délicatesse les rend particulièrement intelligentes. C'est valable pour toutes les espèces féminines d'ailleurs!" ajoutais-je en rigolant. Sur ces mots nous entrâmes chacun dans le box de notre monture pour la préparer. Un bon coup de brosse, nettoyer les sabots puis démêler la crinière et la queue avant de poser le matériel. Quelques minutes plus tard je ramassais ma cravache, sortais Déesse du box et d'un bond l'enfourcha. -"Tu n'as pas encore fini ?" lançais-je à greg -"J'arrive, j'ai presque fini....voilà ça y est." greg sorti à son tour la jument du box. Il s'arrêta en me voyant, parut étonné et me dit:

-"Vous montez à cru Mademoiselle?" -"Oui, dès que je peux je le fais. C'est tellement plus agréable. Pour elle comme pour moi. J'aime sentir sa chaleur et ses muscles." -"Vous êtes très belle. Ainsi que Déesse." greg rougi et détourna la tête. Je ris doucement. Nul doute que ma phrase l'avait excité! Greg mis le pied à l'étrier et monta à son tour sur Athéna. Je lui ordonnai de se mettre derrière moi en attendant que l'on soit dans la forêt. Puis j'actionnais le portail avec le bip que j'avais sorti de ma poche et nous sortîmes tous les quatre. En longeant la route, je ne pouvais m'empêcher de repenser à la veille. J'avais été à nouveau invitée à dîner chez greg.

J'en avais profité pour qu'il affirme ses acquis, à savoir m'appeler "Mademoiselle", me vouvoyer, se mettre à genoux devant moi sur ordres et arrêter de parler en macho. Il avait été particulièrement obéissant, je n'avais rien trouvé à redire. Il avait compris qu'il n'obtiendrait rien en me contrariant. greg étant joli garçon, j'avais évidement songé à l'utiliser en tant qu'objet sexuel, mais il était encore trop tôt. A son stade de dressage, je risquais de faire revenir le macho. Je n'avais pour le moment aucun garçon dans ma vie, et il me manquait un serviteur de plaisir. C'était ma nouvelle façon d'appeler un petit-copain. Il me fallait pour cela bien préparer le terrain. Une blague dit "les hommes sont comme les carreaux, quand on les pose bien la 1ère fois on peut leur marcher dessus toute la vie". Je trouve qu'il s'agit plus d' un adage que d'une blague... Une chose que je n'avais pas pas retenté était de le faire marcher à mes pieds.

Pourtant j'adore cela plus que tout. Promener un homme que je tiens en laisse est une des plus belles visions que j'ai. Comme la soirée avait été fort agréable, avant qu'il ne me laisse devant chez moi je lui avais proposé de venir le lendemain faire une balade à cheval, le sachant cavalier à ses heures. Il avait tout de suite accepté puis m'avait baisé la main en guise d'au-revoir. Il était curieux de savoir ce qui l'attendait. Et moi, impatiente de "le dévorer"... -"On va traverser, fais attention" lui dis-je. Le chemin était juste de l'autre côté de la route. Heureusement, celle-ci était très peu fréquentée. Le chemin était assez large pour que deux chevaux puissent être de front, aussi je permis à greg de se mettre à côté de moi sur ma gauche, et nous nous mîmes à trotter gentiment. Nous bavardions, parlant de tout et de rien. Mes juments étaient sages, elles trottaient à la même allure.

Nous prîmes plusieurs chemins différents. greg connaissait un peu la forêt, mais sans plus. J'était plus que certaine qu'il ne savait plus où on était. Je voulais garder cet atout en main au cas ou... Puis tout d'un coup je ralentis Déesse et l'arrêta. Athéna l'imita sans que greg ait à faire quoi que ce soit. -"Pourquoi nous arrêtons-nous?"demanda-t-il, étonné. -"Descend de cheval!" lui dis-je d'un ton sec en guise de réponse, sans même le regarder. Troublé par le son de ma voix qui était devenu très dur tout à coup, greg s'exécuta prestement. -"Viens de l'autre côté!" -"Mais Athéna..." -"Je la tiens, ne me fais pas attendre!" greg contourna alors les chevaux et vint se poster près de moi, sur ma droite. -"A genoux!" -"Mais..." greg n'eut pas le temps de finir sa phrase, il tomba à terre, projeté par un coup de pied délicat mais bien visé que je lui avais lancé. -"Tu ne discutes pas, tu m'obéis, l'as-tu déjà oublié?!"

-"Non... mais je n'apprécie pas que..." Intrigué par les bruits des sabots il releva la tête, et me vis en train de partir avec les deux juments. Il se releva alors d'un coup pour essayer de me retenir mais je mis aussitôt les juments au trot et me retournai en lui disant d'un ton narquois: -"Tu ne discutes pas, tu obéis!!!! Si c'est trop compliqué pour toi, je trouverais quelqu'un d'autre! Si tu es toujours intéressé, suis-moi!" greg se mit à gémir, le pauvre, il était bien embêté, soit il me suivait et dans ce cas se soumettait pleinement, soit il passerait le reste de la journée à essayer de retrouver son chemin, et encore, sans être sûr que je le laisse rentrer chez moi pour qu'il puisse reprendre sa voiture. Le choix s'était fait quand même au bout de quelques instants, car je l'entendis assez loin derrière moi crier "attends-moi, je veux bien faire ce que tu veux"! Tiens tiens, il avait oublié le vouvoiement! Devenue subitement sadique je fis augmenter la cadence à Déesse, tenant toujours les rênes d'Athéna de ma main gauche. Je me retournais de temps en temps pour voir le malheureux continuer à m'appeler en courant derrière moi.

Bientôt il commença à comprendre que j'allais lui faire payer cet écart. Il arrêta de crier inutilement et couru tout simplement à ma suite. Pour enfoncer le clou je faisais mine de ralentir l'allure, avant de repartir de plus belle au moment ou il allait me rattraper. Ce jeu dura dix bonnes minutes avant que je daigne repasser au pas. greg me rejoignit, essoufflé. Parvenu à la hauteur de ma jambe droite, j'arrêtais à nouveau les chevaux et lui dis sans même lui accorder un regard "A genoux!" greg s'exécuta aussitôt. -"C'est bien Déesse, tu es une bonne jument! Oui, toi aussi Athéna, vous êtes si belles!" Je flattais mes juments tout en les caressant. Un coup d'oeil sur greg me confirma qu'il était apparemment blessé par le fait que je les félicite elles, et pas lui. Il me regardait d'un air penaud, semblant chercher du regard un signe de ma part que je lui pardonnais. Je pris dans la sacoche du tapis d'Athéna deux sucres, et les donnais aux juments. Enfin je me retournai vers greg, comme si d'un coup je m'étais souvenu qu'il était là.

-"Embrasse ma botte! J'espère pour toi que tu les as bien nettoyées!" rigolais-je. Déesse tourna la tête vers lui alors qu'il m'obéissait. -"Tu te demandes ce qu'il fait hein ma belle! Ne t'inquiète pas, ton tour va venir!" dis-je à Déesse en rigolant cruellement. Greg avait très bien entendu ma phrase, il commença à frissonner, et bizarrement redoubla d'ardeur sur ma botte. Il ne devait pas en mener large... D'un petit coup de pied je lui fis comprendre que ça suffisait, puis je lui montrais de ma main gantée les sabots de ma jument. Comme je m'y attendais, il me regarda, l'air apeuré, faisant semblant de ne pas comprendre. Je fis lentement passer la cravache de ma main gauche à ma main droite, et ce geste suffit à finir de le convaincre. Honteux, il se baissa et embrassa le sabot droit de Déesse. Comble de sa honte, à nouveau la jument baissa la tête vers lui et lui renifla les cheveux.

-"Tu aimes ma fille? C'est divin n'est-ce pas?! Digne de Déesses et d'Amazones!" et je partis à rire.

Toujours en rigolant je dis à greg de se relever. greg se redressa, rouge de honte, baissant naturellement le regard. -"Qui commande?" demandais-je fermement d'une voix claire. -"Vous Mademoiselle." murmura-t-il. -"Quoi, j'ai rien entendu??" me moquais-je. -"Vous Mademoiselle, vous êtes telle une Princesse Amazone" ajouta-t-il un peu plus fort, gardant toujours les yeux rivés au sol. -"Bien, que cela ne se reproduise plus. La prochaine fois je t'abandonne sans même me retourner. Remonte en selle!" Greg remonta sur Athéna, et nous repartîmes au petit trot. A plusieurs reprises je réitérais l'exercice, arrêtant les chevaux et obligeant greg à s'agenouiller sur ma droite afin de baiser ma botte. Au fur et à mesure je remplaçai les ordres vocaux à de simples gestes. Parfois je lui faisais aussi baiser le sabot de la jument, parfois non. Arrivés au bord d'une petite clairière, pour achever l'exercice, je lui fis embrasser ma botte droite, les sabots droits de Déesse et les gauches d'Athéna. Lorsqu'il revint à sa place, agenouillé près de ma jambe droite je me penchais vers la sacoche du tapis, en sorti un sucre et le donna à greg en lui disant "C'est bien, tu es un bon mâle!". Honteux, greg baissa les yeux et attrapa délicatement le sucre posé sur le plat de ma main gantée. Je le lui tendais comme je l'avais fait avec mes juments. Puis je descendis de cheval, pris les rênes de Déesse et d'Athéna et les conduisis jusqu'à un arbre. greg était toujours agenouillé, là où je l'avais laissé, n'osant plus bouger sans ordres directs.

Cette pensée me fît sourire tandis que j'attachais les juments à une branche. Pendant que je fouillais dans une des sacoches du tapis j'ordonnai à greg de s'approcher. Lorsque je me retournai vers lui, il s'était repositionné à genoux, et son regard suivi instinctivement la longueur de mon bras jusqu'à ma main. Je ne lui laissa qu'à peine le temps de dévisager ce qui l'attendais, et lui cercla le cou du collier de cuir. Je retournai près d'Athéna, et pris cette fois une longe. -"Eh bien greg, nous allons voir si tu sais marcher aux pieds aussi bien que mes juments! lui dis-je, en tout cas, vous partagez le même accessoire...!" ajoutai-je en agitant la longe. greg, n'osant plus rien dire, garda la tête basse. J'attachai à son collier la longe, et commençai à avancer tout doucement. La longueur de la longe était assez lâche, mais comme greg ne savait pas quoi faire, n'ayant pas reçu d'ordre vocal direct de ma part, elle eût tôt fait de se tendre. Lorsque je ressenti la résistance que j'avais prévu, je me retournai soudainement et criai " je ne vais pas à chaque fois m'obliger à te parler si je n'en ai pas envi, un cheval comprend ce que j'attend de lui en faisant ça, tu devrais en être tout autant capable!". Blessé dans sa fierté de penser qu'un cheval puisse mieux faire que lui, greg se mît en route, à 4 pattes, mais je lui criai encore un peu plus fort "Qu'est-ce que tu fabriques? Est-ce que j'ai marché? Non! Ce n'est pourtant pas compliqué, je marche tu me suis, je m'arrête tu t'arrêtes! Dernier avertissement..."

Et je recommençai à avancer. En moi -même je me disais que j'y allais un peu fort peut-être, mais au fond, il valait mieux ça que l'inverse! Être trop laxiste aurait conduit tôt ou tard à un échec, surtout au début. Pauvre greg quand même, il y a quelques temps il était encore dans son monde, maintenant il pénètre sur mes terres... mais bon, à le voir -je jetai un oeil par-dessus mon épaule pour le regarder marcher à 4 pattes- il doit aimer ça! Aucun machiste dans l'âme ne se laisserait faire ainsi. Il est en train de goûter à son fruit défendu: ravaler sa fierté devant une femme, obéir à ses moindres désirs, combler le moindre de ses caprices. Le plus important est de bien lui faire comprendre qu'il n'a pas trop intérêt à me décevoir... Je m'arrêtai. greg s'arrêta à son tour, près de ma jambe droite. Je repartis, il se remit en marche. Il avait tout compris. Dans la petite clairière où nous étions, je le fis marcher sur un grand cercle, m'arrêtant et repartant à de nombreuses reprises. Puis je compliquai l'exercice en ajoutant des virages plus ou moins serrés.

Il devait respecter une certaine distance entre lui et mon mollet, mais d'un autre côté j'avais raccourci la longe et il ne devait pas la tendre. Parfois malgré toute la bonne volonté qu'il y mettait, la longe se tendait, et délicatement, pour la forme, je lui donnai un petit coup sur la laisse pour lui montrer mon mécontentement. Aucun risque de son côté, le collier était parfaitement ajusté, d'une largeur suffisamment épaisse pour ne pas le blesser ou l'étrangler. Je prenais un soin tout particulier au choix de mes accessoires, ceux-ci devant être beaux, de préférence en cuir, assez sobres mais parfaitement adaptés à l'utilisation particulière que je leur réservais... Au bout de plusieurs minutes greg était aussi docile que mes juments, marchant presque aussi bien qu'elles, obéissant tantôt à mes gestes tantôt à ma voix. J'étais pleinement satisfaite de lui et m'allongeai en plein soleil sur un matelas d'herbes et de mousse. greg était resté à genoux, et je le laissai ainsi quelques instants, fermant les yeux de bonheur. Sans rouvrir mes yeux, je lui dis "tu vois greg, ce n'est pas si compliqué de rendre une femme heureuse.

Il suffit juste qu'elle sache ce qui LA rend heureuse, après pratiquement n'importe quel mâle peut convenir. Mais je t'ai choisi toi, tâches de ne pas l'oublier!" Je me redressai, m'assis, le força à me regarder en lui redressant le menton de ma main et ajoutai d'une voix suave: "Veux-tu être à moi? -Oui, répondit-il timidement au bout de quelques secondes, en cherchant à fuir mon regard, je veux que.. euh... j'aimerai... que... -Que je continue à te montrer la voie de mon bonheur? -...oui...!" Il parut soulagé de ne pas avoir à le dire. Pour ma part j'étais aux anges, et tendrement le pris dans mes bras. Il m'entoura des siens, ses mains s'arrêtèrent dans la courbure de mon dos et imprimèrent une pression qui en disait long sur ce qu'il devait ressentir. Mon coeur battait plus vite, je pouvais sentir son souffle s'accélérer sur ma nuque. Nous restâmes un long moment ainsi, puis il me chuchota à l'oreille "je n'ai jamais ressenti autant d'émotions auparavant..." Je pouvais sentir sa chaleur s'émaner de lui et frapper mon corps, telle une vague de caresses. Que c'était bon. Que c'était bon de savoir que je contrôlais tout, qu'il n'aurait pas de remarques désobligeantes ou de gestes déplacés. Je pouvais pleinement jouir de la situation sans me dire qu'il avait autre chose en tête. Si son dressage continuait aussi bien, la présence de mon nouveau serviteur de plaisir me deviendrait rapidement indispensable. Je me levais alors, et lui ordonnais de se mettre à 4 pattes. Je laissais le bout de la longe sur son dos puis j'allais détacher les chevaux.

Je revins près de lui, repris la longe dans ma main puis enfourcha Déesse. De ma main gauche je tenais greg et de la droite les rênes d'Athéna. Je dirigeais Déesse uniquement grâce à mes jambes et à ma position sur elle tellement son dressage était parfait. Je mis Déesse au pas, et greg comprit presque d'instinct ce que je voulais de lui. C'est ainsi que nous rentrâmes sur une petite partie du chemin, lui à 4 pattes au début. Mais bientôt je me rendais compte que le pas des chevaux était trop rapide pour l'allure de greg. Je le fis donc mettre debout et je lançais Déesse au trot. greg courrait à mes côtés, je me plaisais à le voir ainsi, tenu en longe par ma main gantée. Arrivés presque en bordure de forêt j'arrêtais les chevaux et permis à greg de finir la balade en selle, sans toutefois enlever son collier. Longeant la route, à nouveau en tête, je repensais à ce qui venait de se passer. Cette fois-ci inutile de rêver, c'était bien réel. J'avais fait fléchir greg encore plus bas, il avait su l'accepter et s'en accommoder, sans râler, sans -trop- se rebeller. Je savais désormais que greg m'obéirait au doigt et à l'oeil, et je songeais à l'usage que je lui réservais...

Mademoiselle M.

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